Vin et viticulture, une chance, un atout, un potentiel.

1000 personnes vivent de la viticulture dans notre circonscription. Le dynamisme des viticulteurs, des coopératives et des négociants sont reconnus.

Pour demain trois priorités :
– Les maladies telles l’esca et la flavescence dorée doivent trouver au plus vite des solutions pour les éradiquer. Un plan national d’accélération des recherches est indispensable pour éliminer ces fléaux qui représentent 10% de pertes annuelles de récolte.

-Les efforts entrepris pour pacifier la coexistence entre viticulteurs, riverains et usagers de l’espace rural  sont à amplifier. Aux cotés des viticulteurs, les fabricants des produits phytopharmaceutiques, autorisées par les services de l’Etat, les distributeurs munis d’autorisations officielles, doivent être partie prenante des discussions. Les viticulteurs ne sont pas des fantassins qui défendent seuls des questions dont ils sont loin d’être les seuls responsables.

-La formation des hommes, la mise en place de conditions de  production écologiquement compatibles, la conquête de nouveaux marchés exports et un plan Oenotourisme ambitieux doivent succéder aux balbutiements actuels.

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